RP Les damnés

2149, l'Arche, une station orbitale habité par des réfugiés d'une guerre nucléaire arrivé il y à maintenant 97 ans. Un vrai miracle de survivre aussi longtemps dans l'espace, 12 stations différentes unies pour survivre pour un total de plus de 2 600 habitants de differentes nations, mais les ressources étant limitées, des mesures furent prises par le Conseil de l'Arche.

Des règles ont été implanté dès le lancement des stations pour permettre une survie à l'Arche, par exemple, il était interdit de faire plus d'un enfant. Au long terme ceci fit diminuer la population, mais ce n'était pas assez pour y maintenir la vie.

Le miracle, cet Arche, n'était pas fait pour durer et des failles se sont vues dans le système d'oxygène, le Conseil à décidé de garder cela secret au reste des habitants des stations tout en mettant en place une solution : tous les criminels adultes sont punies de la peine de mort, quand aux jeunes criminels, ils sont enfermés jusqu'à avoir atteint l'âge adulte pour ensuite être à leurs tour envoyé à la dérive dans l'espace.

Suffisant pour sauver l'Arche ? Absolument pas. Le Conseil décida de faire quelque chose de plus... radicale. 100 personnes seront envoyés sur Terre pour savoir si la vie y est possible, et ses 100 personnes sont tous des jeunes criminels. Peut-on dire que ceci est une deuxième chance pour ces criminels destiné à mourir sur l'Arche ? Ou est-ce une vraie descente en enfer ?

Le jour approche alors que les prisonniers ne sont pas au courant de ce qui est sur le point d'arriver. Ce jour sera marqué dans l'histoire pour toujours..

(Cléa)

Deux gardes s'avançaient le long des nombreuses cellules de cette section, ils tenaient tout deux, une jeune femme qui semblait se débattre et essayer de négocier. Ils arrivèrent rapidement devant une cellules vide et balancèrent sans retenue la femme à l'interieur. elle se jeta directement vers les barreaux que les gardes s'empressa de fermer

"hey ! laissez moi sortir putain ! j'y suis pour rien !"

les deux gardes s'en allérent sans faire attention à elle

"hey ! j'vous parle ! putain mais donné moi un puzzle au moins ! un truc à faire putain !"

( Sylas )

De mieux en mieux.. Décidément, mes journées en prison se font de plus en plus régulières. Les gardes commencent même à me connaître. Putain.. J'étais posé contre le mur, la jambe droite recourbée contre moi, cigarette en main. On me laisse même fumer ici, maintenant.. Ils ont plus rien à foutre, de toute façon. Je collais ma tête contre le mur, soufflant la fumée vers le plafond, avant d'entendre quelqu'un. Pourquoi..? J'attendais que les gardes partent, en entendant toujours les mêmes trucs. " j'y suis pour rien, laissez-moi tranquille! " Blablabla.. 

Je tournais la tête vers les barreaux, pour retrouver finalement Cléa en face de ma cellule. Qui gueule. ... Comme à son habitude, quasi.

" ... Hoi. Cléa. Tu veux bien te taire. "

(Cléa)

elle remarquait l'homme en face d'elle et reconnut directement Sylas. Elle ne le connaissait pas trés bien mais elle avait était amené à travailler plusieurs fois avec lui

"Sylas ? serieux ? j'me disais bien que ça faisait un moment que je t'avais pas vue à la section..."

( Sylas )

Je la regardait du coin de l'oeil, écrasant le mégot contre le mur. Mur tacheté de pleins de petites brûlures. Lui aussi a l'habitude.

" C'est aussi grâce à moi que le responsable Mecha n'est pas la depuis que vous ne me voyez plus. Mais de rien. "

(Cléa)

elle se mettait contre la cellule, calant sa tête entre les deux barreaux

"qu'es-ce que ta fait de beau encore ?"

( Sylas )

" Je l'aurais mal regardé. Et il a voulu me montrer qui était le patron. "

Je soupirais. La raison était tout autre, bien évidemment. Certaines personnes aiment profiter de la faiblesse des autres, sur la station. Ces chiens méritent de mourir. Il en fait partie. Je sais que ma mère est alcoolique, et qu'elle ne fait rien pour s'arrêter. La réputation de "siphonneuse de calle" me pèse déjà assez, alors quand on me le rebalance à la gueule.. J'ai tendance à perdre mon sang froid.

" ... Et toi ? "

(Cléa)

elle soupirait,

"j'ai eu un différant avec un collègue..." dit elle en mettant les guillemets sur le mot collègue

elle se décollait un peu pour montrait le haut de sa joue qui était un peu rouge à cause d'un mauvais coup

( Sylas )

" Mh ? "

Je me rapprochais des barres de la cellule, tendant le bras, pour attraper le menton de Cléa, et regarder la blessure.

" Tss.. De mieux en mieux.. "

(Cléa)

elle souriait,

"quoi ? parce que je suis une femme, j'ai pas le droit de me battre ?"

( Sylas )

" Non. Cela n'empêche que je n'aime pas voir de blessures sur le visage d'une femme. "

Je regardais en l'air en lâchant son menton. Ce n'est pas pour rien que mon père a été envoyé à la dérive..

[Ashley]

J'était assise tranquillement, toute souriante en voyant quelqu'un arriver et se faire enfermer. Je rigolais doucement en l'entendant.

"C'est jamais de notre faute hein ?" Dis-je assez fort pour être entendue.

Je restais dans le fond de la cellule.

(Cléa)

elle allait vers le coté de sa cellule où elle avait entendu la voix

"hé ! si je me fait insulter, je préfére savoir le nom de la personne plutôt qu'elle rester caché !"

[Ashley]

"Une insulte ?"

Je rigolais et me levais pour m'approcher des barreaux. Je regardais vers l'autre femme en souriant.

"Coucou."

( Sylas )

Je soupirais en me reculant des barreaux, pour rester dans mon coin, écoutant la conversation des autres.

" De mieux en mieux.. "

(Cléa)

"tu viens d'où toi là ba "

[Ashley]

"Agro, et toi alors ?"

(Cléa)

"Mecha"

( Sylas )

" ... Une fille de l'agro ? Comment tu es arrivée ici ? "

[Ashley]

"Ahh, vous les mechas."

Je rigolais doucement puis entendais l'autre poser sa question.

"T'es bien curieux toi, j'aime sa." Dis-je avec un petit sourire en coin.

(Cléa)

elle gardait ses mains sur les barreau

"ça repond pas à la question"

( Sylas )

" Tu n'es pas ici parce que tu veux rencontrer d'autres personnes. Alors ? "

[Ashley]

"Bah pourquoi pas ? On rencontre plein de gens ici, c'est cool, il manque juste un peu de contact humain."

Je passais mon bras a traver les barreaux en rigolant un peu, le tendant vers les autres.

"Il se peut que je soit là pour avoir fait une PETITE bêtise."

(Cléa)

"qui essst ?"

( Sylas )

Je tendais la main vers son bras, une cigarette entre deux doigts, briquet entre deux autres.

" Une petite bêtise..? Comme ? "